Vacances - Jour 1
Entre le film de les Nuls sur la six ce soir (un site pour les inconditionnels comme moi, la chanson et la chronique de Sm@ll BoX) et l'apéro chez JP, j'ai un peu de mal à tenir ma promesse. Je vais quand même faire un petit post sur ma première journée de vacances correspondant au voyage entre Paris, Fort de France et Saint François (port d'attache des catas de l'UCPA). Je sais, je ne me suis pas trop foulé. C'est le premier jour de mes vacances et je fais ce que je peux. Le gros problème, c'est que je ne peux pas beaucoup ce soir. Après le délire (Avec messenger plus, le film de les nuls en 4.0 2.0 chez moi et 2.0 chez mon frère via l'ADSL, la danse effrénée sur la Carioca, ...), je ne suis pas en forme olympique mais je débute comme promis la narration de mon périple.
J'ai passé la nuit chez mon frère à Evreux et me suis levé à 6h40 pour prendre le train de "banlieue" (Evreux est quand même à distance respectable pour être considéré comme la banlieue de Paris) en direction de la Gare Saint Lazare à 7h00. J'avais rendez-vous à 9h00 à l'aéroport d'Orly pour récupérer mes billets d'avion au stand UCPA. J'ai le iPod sur la tête. Jusqu'à Mantes la Jolie tout se passe bien. A Mantes, le train se rempli brusquement. Des fous furieux qui tirent une tronche d'enterrement. Je veux crier à tous ces passagers "je suis en vacances, ayez l'air joyeux". Heureusement que j'ai la musique dans le cerveau mais ils me font tous pitié. Leur week-end a du être horrible et ils expriment la joie du retour au travail. Ca casse le début des vacances.
Ensuite je prends le métro avec mon gros sac. J'ai l'impression de venir de Mars voire de Venus. Je ne suis pourtant ni vert, ni violet. Mon gros sac semble poser problème à plusieurs. Je le colle pourtant contre moi afin de gêner le moins possible. Je sens tout de même tous les regards sur moi. J'ai toujours le iPod dans les oreilles. Je me fais peut-être des idées.
Citée Universitaire. Tout le monde descend sauf moi. Je vais prendre le Orly Val. Bel outil et très rapide. Je ne voulais pas prendre les cars Air France de peur d'être en retard au rendez-vous. A l'aéroport tout se passe comme sur des roulettes. Je récupère mon billet, j'enregistre mes bagages et je suis dans la salle d'attente à 9h45 pour un décollage à 12h40. Mon nouvel ami est toujours avec moi et va me suivre de très près pendant tout ce voyage. Je regarde mon billet et j'ai une place dans la rangée A. Super j'ai le hublot. Je vais pouvoir admirer la capitale pendant la phase de décollage.
A 11h40, les premiers passagers sont invités à monter bord du B747. C'est mon tour. Je monte dans l'avion et les 2 places à mes côtés sont déjà occupées. Je scrute rapidement mes 2 voisins. Une belle plante (je vais vite me raviser) avec des hauts talons et un jeune homme propre sur lui. Ils doivent être ensemble. Comme à mon habitude je ne décroche pas un mot. D'après mes anciennes expériences, les gens de l'UCPA sont parqués dans l'avion . Ces 2 là, ils ne vont pas faire du bateau sinon ils ne seront pas déçu du voyage. Le bateau c'est presque que pire que le camping en terme de confort...
Le décollage se passe bien sauf que je ne vois rien de Paris. Ce n'est pas parce que je suis du mauvais côté mais car le temps est brumeux. Dommage!!!! D'habitude, Paris est beau vu du ciel. Pendant le vol je n'ai fait que dormir. Je n'ai vu aucun des films diffusés. Le confort est très très spartiate dans les B747. Impossible d'étaler mes jambes qui ne sont pourtant pas si grandes.
A l'arrivée, ma première action est de me mettre en short. La chaleur est étouffante. Je récupère mes bagages et me dirige vers la sortie de l'aéroport. Je cherche désespérement l'accompagnatrice UCPA. Je fini par la trouver et elle me demande Saint Francois ou les Saintes. Je n'en sais rien. Je vais faire la croisière. Elle réitère sa question. Elle fini par me dire de prendre le car pour Saint Francois. Je suis sur la bonne voie. Dans mon bus, je retrouve mes 2 voisins de l'avion. Encore eux!!!!
A Saint Francois, le bus dépose une partie de la troupe au village UCPA mais toujours pas mes 2 voisins. Dernier arrêt. Tout le monde descend. C'est pour la croisière et ils font bien de la partie.
Nous sommes 7 stagiaires et 2 chefs de bords. Les chefs de bords trouvent une excuse bidon pour naviguer sur un seul bateau pendant la semaine qui va suivre. Je me retrouve avec un Suisse dans la cabine bâbord avant. J'aime les cabines avant car le hublot au plafond permet de s'échapper quand on le désire. Je suis content de ma situation. Je n'ai jamais eu autant de place sur un bateau.
Le dîner se passe dans un resto du port. Il est pas terrible avec du poisson, du riz froid et une banane flambée. Le tout pour 15€. Moi qui croyais que la vie aux Antilles étais économique. Pas de chance.
Il est 23h00 (heure locale soit 7h00 du matin en France) et je me couche. La journée a été longue.
Les photos de la journée et la suite au prochain numéro...
Je m'excuse pour les fautes de frappes et d'orthographes mais je dois aller me coucher dans la vraie vie. Je corrigerais "tout ça" demain.
J'ai passé la nuit chez mon frère à Evreux et me suis levé à 6h40 pour prendre le train de "banlieue" (Evreux est quand même à distance respectable pour être considéré comme la banlieue de Paris) en direction de la Gare Saint Lazare à 7h00. J'avais rendez-vous à 9h00 à l'aéroport d'Orly pour récupérer mes billets d'avion au stand UCPA. J'ai le iPod sur la tête. Jusqu'à Mantes la Jolie tout se passe bien. A Mantes, le train se rempli brusquement. Des fous furieux qui tirent une tronche d'enterrement. Je veux crier à tous ces passagers "je suis en vacances, ayez l'air joyeux". Heureusement que j'ai la musique dans le cerveau mais ils me font tous pitié. Leur week-end a du être horrible et ils expriment la joie du retour au travail. Ca casse le début des vacances.
Ensuite je prends le métro avec mon gros sac. J'ai l'impression de venir de Mars voire de Venus. Je ne suis pourtant ni vert, ni violet. Mon gros sac semble poser problème à plusieurs. Je le colle pourtant contre moi afin de gêner le moins possible. Je sens tout de même tous les regards sur moi. J'ai toujours le iPod dans les oreilles. Je me fais peut-être des idées.
Citée Universitaire. Tout le monde descend sauf moi. Je vais prendre le Orly Val. Bel outil et très rapide. Je ne voulais pas prendre les cars Air France de peur d'être en retard au rendez-vous. A l'aéroport tout se passe comme sur des roulettes. Je récupère mon billet, j'enregistre mes bagages et je suis dans la salle d'attente à 9h45 pour un décollage à 12h40. Mon nouvel ami est toujours avec moi et va me suivre de très près pendant tout ce voyage. Je regarde mon billet et j'ai une place dans la rangée A. Super j'ai le hublot. Je vais pouvoir admirer la capitale pendant la phase de décollage.
A 11h40, les premiers passagers sont invités à monter bord du B747. C'est mon tour. Je monte dans l'avion et les 2 places à mes côtés sont déjà occupées. Je scrute rapidement mes 2 voisins. Une belle plante (je vais vite me raviser) avec des hauts talons et un jeune homme propre sur lui. Ils doivent être ensemble. Comme à mon habitude je ne décroche pas un mot. D'après mes anciennes expériences, les gens de l'UCPA sont parqués dans l'avion . Ces 2 là, ils ne vont pas faire du bateau sinon ils ne seront pas déçu du voyage. Le bateau c'est presque que pire que le camping en terme de confort...
Le décollage se passe bien sauf que je ne vois rien de Paris. Ce n'est pas parce que je suis du mauvais côté mais car le temps est brumeux. Dommage!!!! D'habitude, Paris est beau vu du ciel. Pendant le vol je n'ai fait que dormir. Je n'ai vu aucun des films diffusés. Le confort est très très spartiate dans les B747. Impossible d'étaler mes jambes qui ne sont pourtant pas si grandes.
A l'arrivée, ma première action est de me mettre en short. La chaleur est étouffante. Je récupère mes bagages et me dirige vers la sortie de l'aéroport. Je cherche désespérement l'accompagnatrice UCPA. Je fini par la trouver et elle me demande Saint Francois ou les Saintes. Je n'en sais rien. Je vais faire la croisière. Elle réitère sa question. Elle fini par me dire de prendre le car pour Saint Francois. Je suis sur la bonne voie. Dans mon bus, je retrouve mes 2 voisins de l'avion. Encore eux!!!!
A Saint Francois, le bus dépose une partie de la troupe au village UCPA mais toujours pas mes 2 voisins. Dernier arrêt. Tout le monde descend. C'est pour la croisière et ils font bien de la partie.
Nous sommes 7 stagiaires et 2 chefs de bords. Les chefs de bords trouvent une excuse bidon pour naviguer sur un seul bateau pendant la semaine qui va suivre. Je me retrouve avec un Suisse dans la cabine bâbord avant. J'aime les cabines avant car le hublot au plafond permet de s'échapper quand on le désire. Je suis content de ma situation. Je n'ai jamais eu autant de place sur un bateau.
Le dîner se passe dans un resto du port. Il est pas terrible avec du poisson, du riz froid et une banane flambée. Le tout pour 15€. Moi qui croyais que la vie aux Antilles étais économique. Pas de chance.
Il est 23h00 (heure locale soit 7h00 du matin en France) et je me couche. La journée a été longue.
Les photos de la journée et la suite au prochain numéro...
Je m'excuse pour les fautes de frappes et d'orthographes mais je dois aller me coucher dans la vraie vie. Je corrigerais "tout ça" demain.
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